De retour sur Chengdu
Me voilà de retour sur Chengdu après une pause d'un mois.
Quel plaisir de retrouver les rues bondées, puantes et bruyantes de Chengdu. Un pur Bonheur.
A peine arrivé à l'aéroport, je prends le bus pour rentrer chez moi après 12h de voyage.
Je met ma valise dans la soute du bus, normal c'est prévu pour nan?
Je garde mon sac de backpackeur avec moi et monte dans le bus.
J'ai bien dit à la vendeuse des tickets où je descendais et à celle qui controle les billets aussi mais pas au chauffeur... paye ton erreur.
Arrivé au premier arrêt, trop content d'être enfin chez moi et de me dire que c'est quand même super pratique que le bus s'arrête à 200m de chez moi.
Je descends donc du bus et me dirige vers le coffre pour prendre ma valise. Normal, je me suis pas trimballer 30kg sur 8000 bornes pour les laisser à 200m de chez moi.orizon.
Tu vois pas que le bus redémarre. Je commence à courrir après en tapant sur la carcasse en gueulant " Et, ma valise connard".
Le chauffeur me dit, "tout ce qui est dans le coffre y reste jusqu'à destination".
???
Je lui fait " c'est là, ma destination, j'ai ma valise ds le coffre donc je dois la prendre".
Nan et il redémarre porte ouverte. Putain, obligé de sauter dans le bus en marche.
La, je comprends plus rien, ya un bas coté prévu pour les bus, pourquoi il ne peut pas s'y arrêter puisque de toute façon ya un arrêt...
Il me dit que nan pour les valises c'est pas ici.
Je résume donc moi je descends à mon arrêt et ma valise à un autre. Puis, elle rentre après un ciné/macdo, c'est ça?
Je lui dis que je suis fatigué et que ce genre de conneries, je m'en passe.
Mais il me dit c'est la régle, c'est comme ça.
Bref, je vous passe les détails, il a finit par me laisser la récupérer en plein centre ville, même pas sur un parking mais à un arrêt de bus normal. En toute logique bien sur...
Et là, je me retrouve en plein coeur de Chengdu, à 18h heure de pointe, sans avoir dormi avec mes 12h de vols ds les pattes et mes 30kg de bagages sur les bras, sans un tacos de libre à l'horizon.
Le pire scénario que je pouvais espérer... Putain que j'ai pu maudire ce couillon et ces règles à deux balles. D'ailleurs, c'est qui le con qui a décrété une coonerire pareille: on prend le temps de descendre mais pas le temps de prendre ses bagages...
Bref, je tends le bras et après une demi-heure d'attente, un tacos s'approche, il est libre, voit ma gueule et ma valise et trace sa route. Bordel, je cumule. Et ce qui me tue, c'est véridique en plus, c'est que ce taxi s'arrête 200m plus loin pour prendre un chinois.
Envie de carnage direct. La bête sanguinaire en moi ne demande qu'à s'exprimer. La moindre vieille qui me regarde de travers et je lui saute à la gorge.
Un tacos finit par s'approcher, je balance mes valises à l'arriere et je bénit cette âme charitable que de bien vouloir m'accepter à bord de sa carlingue. Au final, j'ai pas perdu une minute à récupérer ma valise en soute mais j'ai perdu 1h30 à me faire trimballer jusqu'en centre ville, attendre un tacos et rentrer chez moi dans les bouchons (plus, la course du tacos). Bref, tout bénef.
Arrivé à la maison, je pose mes affaires en me disant qu'ya pas de meilleur endroit au monde que chez soit. Direction les toilettes pour fêter ça... Bouchés, les toilettes bouchés. Je pose à peine un estron après un mois d'absence et les toilettes se bouchent.
Là, deux possibilités, une verveine citron pour me calmer ou un cancer de l'anus...
En clair, c'est toute la Chine qui bras ouvert me dis
"Bienvenue au pays"
Toujours dans la joie et la bonne humeur.
Quel plaisir de retrouver les rues bondées, puantes et bruyantes de Chengdu. Un pur Bonheur.
A peine arrivé à l'aéroport, je prends le bus pour rentrer chez moi après 12h de voyage.
Je met ma valise dans la soute du bus, normal c'est prévu pour nan?
Je garde mon sac de backpackeur avec moi et monte dans le bus.
J'ai bien dit à la vendeuse des tickets où je descendais et à celle qui controle les billets aussi mais pas au chauffeur... paye ton erreur.
Arrivé au premier arrêt, trop content d'être enfin chez moi et de me dire que c'est quand même super pratique que le bus s'arrête à 200m de chez moi.
Je descends donc du bus et me dirige vers le coffre pour prendre ma valise. Normal, je me suis pas trimballer 30kg sur 8000 bornes pour les laisser à 200m de chez moi.orizon.
Tu vois pas que le bus redémarre. Je commence à courrir après en tapant sur la carcasse en gueulant " Et, ma valise connard".
Le chauffeur me dit, "tout ce qui est dans le coffre y reste jusqu'à destination".
???
Je lui fait " c'est là, ma destination, j'ai ma valise ds le coffre donc je dois la prendre".
Nan et il redémarre porte ouverte. Putain, obligé de sauter dans le bus en marche.
La, je comprends plus rien, ya un bas coté prévu pour les bus, pourquoi il ne peut pas s'y arrêter puisque de toute façon ya un arrêt...
Il me dit que nan pour les valises c'est pas ici.
Je résume donc moi je descends à mon arrêt et ma valise à un autre. Puis, elle rentre après un ciné/macdo, c'est ça?
Je lui dis que je suis fatigué et que ce genre de conneries, je m'en passe.
Mais il me dit c'est la régle, c'est comme ça.
Bref, je vous passe les détails, il a finit par me laisser la récupérer en plein centre ville, même pas sur un parking mais à un arrêt de bus normal. En toute logique bien sur...
Et là, je me retrouve en plein coeur de Chengdu, à 18h heure de pointe, sans avoir dormi avec mes 12h de vols ds les pattes et mes 30kg de bagages sur les bras, sans un tacos de libre à l'horizon.
Le pire scénario que je pouvais espérer... Putain que j'ai pu maudire ce couillon et ces règles à deux balles. D'ailleurs, c'est qui le con qui a décrété une coonerire pareille: on prend le temps de descendre mais pas le temps de prendre ses bagages...
Bref, je tends le bras et après une demi-heure d'attente, un tacos s'approche, il est libre, voit ma gueule et ma valise et trace sa route. Bordel, je cumule. Et ce qui me tue, c'est véridique en plus, c'est que ce taxi s'arrête 200m plus loin pour prendre un chinois.
Envie de carnage direct. La bête sanguinaire en moi ne demande qu'à s'exprimer. La moindre vieille qui me regarde de travers et je lui saute à la gorge.
Un tacos finit par s'approcher, je balance mes valises à l'arriere et je bénit cette âme charitable que de bien vouloir m'accepter à bord de sa carlingue. Au final, j'ai pas perdu une minute à récupérer ma valise en soute mais j'ai perdu 1h30 à me faire trimballer jusqu'en centre ville, attendre un tacos et rentrer chez moi dans les bouchons (plus, la course du tacos). Bref, tout bénef.
Arrivé à la maison, je pose mes affaires en me disant qu'ya pas de meilleur endroit au monde que chez soit. Direction les toilettes pour fêter ça... Bouchés, les toilettes bouchés. Je pose à peine un estron après un mois d'absence et les toilettes se bouchent.
Là, deux possibilités, une verveine citron pour me calmer ou un cancer de l'anus...
En clair, c'est toute la Chine qui bras ouvert me dis
"Bienvenue au pays"
Toujours dans la joie et la bonne humeur.